SUMMERSIDE – le 11 octobre 2006 – Le sujet de mieux-être dans le milieu du travail et du bénévolat suscite beaucoup d’intérêt et prend de plus en plus la place au sein du marché du travail et des communautés.  Il est bien documenté et prouvé que le maintien de la santé et du mieux-être contribuent énormément à la productivité, aux relations saines et à la réduction des congés de maladie.

Plusieurs partenaires communautaires qui veulent promouvoir l’idée de santé et de mieux-être au sein de la communauté francophone et acadienne ont donc décidé d’organiser une journée pour offrir des méthodes pour réduire le stresse, augmenter son bonheur et « recharger ses batteries »

Tous sont donc invités à participer à la journée « Samedi d’être bien » (un jeu de mots sur « Ça me dit d’être bien »), qui aura lieu le 4 novembre au Centre Belle-Alliance à Summerside. On a adopté le slogan « Est-ce que ça vous dit d’être bien? » pour la journée.

« Cette conférence, qui n’est pas comme les autres, vous permettra d’explorer des techniques d’exercice, de relaxation, de l’art et de rire, pour n’en nommer que quelques unes, qui favorisent la santé et le mieux-être de chacun et de chacune dans son milieu de travail et de bénévolat, » signale Angie Cormier, qui coordonne la conférence pour les partenaires.

Samedi d’être bien offre des ateliers et des démonstrations touchant aux sujets de la santé et du mieux-être pour aider les gens à réduire le stresse, mieux manger, connaître des activités physiques douces et énergisantes, améliorer leur niveau d’énergie personnelle, contribuer et participer à développer l’énergie positive de leur organisation ou de leur équipe, avoir des relations saines et équilibrées de travail et de bénévolat et augmenter leur productivité et celle de leur équipe.

CONFÉRENCIER

René Robichaud, président du chapitre Atlantique du Club international de rire, sera le conférencier principal de la journée. En fait, c’est lui qui présentera la conférence d’ouverture de la journée.

M. Robichaud est un animateur certifié dans le yoga et le rire. Il a fondé le premier club de rire et de yoga en novembre 2005 à Dartmouth en Nouvelle-Écosse. Depuis ce temps, il a participé à plusieurs entrevues à CBC, ATV, Radio-Canada et avec le Chronicle-Herald. Il a animé des ateliers de rire et de yoga pour des personnes âgées, des employés et  des jeunes. Il est également responsable de la mise sur pied les clubs de Moncton, Summerside et Charlottetown. Cet animateur possède 10 ans d’expérience dans la formation des adultes. Il est également l’auteur d’un manuel sur le changement intitulé « What Gear Are You In? ». Ce guide, portant sur la gestion du changement global de la personne, utilise une analogie d’une auto.

Il a mis sur pied la compagnie « Attitude Is Your Key To Coaching », qui a pour mission de promouvoir le mieux-être ; par conséquent, il a initié en 2006 une passe de mieux-être avec 17 autres partenaires dans la région d’Halifax métropolitain. Il organise aussi des sessions du mieux-être dans le milieu de travail.

DÉROULEMENT

La journée débutera avec les inscriptions à 9 h. Suite à la conférence de M. Robichaud, les participants pourront participer à trois ateliers hors de sept, soit deux en matinée et un suite au dîner. On procédera alors à une plénière puis ensuite à la clôture de la journée.

Le frais d’inscription de 15 $ couvre toutes les sessions ainsi que le dîner. Il faut s’inscrire au plus tard le 27 octobre en communiquant avec Angela Gallant à la Société éducative de l’Î.-P.-É. au (902) 854-8024 ou sans frais au 1-877-854-3010, poste 7. Ou encore, on peut la rejoindre par courriel au angela@socedipe.org.

Puisque c’est une journée de relaxation et d’exercices, les participants sont encouragés d’y assister en vêtements confortables et convenables.

Cette journée est organisée conjointement par la Société éducative de l’Î.-P.-É., le Réseau des services de santé en français, la Société Saint-Thomas-d’Aquin, RDÉE Île-du-Prince-Édouard et la Société de développement de la Baie acadienne.

Ce projet est rendu possible grâce à des contributions financières provenant de Santé Canada, par l’intermédiaire de la Société santé en français, et du Gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard par l’intermédiaire de la Division des affaires acadiennes et francophones.