Les ventes du marché des fermiers Évangéline dépassent toutes les attentes


Les ventes du marché des fermiers Évangéline dépassent toutes les attentes

Une récente réunion d’évaluation de la première saison pour Le Marché a révélé que les vendeurs étaient plus que satisfaits du fait qu’ils voyaient plus de 200 clients chaque samedi. À quelques reprises, on a même accueillit plus de 400 visiteurs – – soit la fin de semaine du jamboree de musique bluegrass et la fin de semaine d’une visite par une caravane de roulottes.

Le comité de planification du marché travaillera donc au cours des prochains mois à bâtir sur ce qu’on a accomplit cette année, à augmenter les efforts de marketing, à agrandir le nombre de vendeurs et à attirer encore plus de visiteurs, explique M. Gallant.

Il affirme que cette année en était une d’apprentissage et d’expérimentation; les organisateurs en ont beaucoup apprit sur l’opération d’une telle entreprise. Ils sont fiers de voir que bon nombre de leurs idées ont bien marché, tels les repas prêts à manger, les tables de pique-nique, la musique de violon des jeunes membres de Clacka’Zing, la fête de Noël en juillet et la grosse boîte de sable pour les enfants.

Douze vendeurs réguliers se rendaient au marché – situé dans l’Étable du terrain de l’exposition agricole à Abram-Village – à chaque semaine pour y vendre leurs aliments : du poisson frais, des saucisses à l’ému, des chaudrées, des pâtes (pastas), de la crème glacée, des fruits et légumes, du pâté, de la râpure, de la tarte, des galettes blanches, des biscuits, du café mexicain et colombien et la liste continue. On y trouvait également une variété de produits artisanaux, des bas teints, des peintures et des couvertures de lits.

Une dizaine d’autres marchands sont également venus vendre leurs produits de temps à autre au cours de la saison. Sur cette liste se trouvent les participants du programme d’entrepreneurship jeunesse Je veux devenir millionnaire.

« Les gens qui sont venus visiter ont beaucoup apprécié la variété de produits qu’on avait à vendre » signale M. Gallant. « Et une fois que les gens venaient une première fois, on les revoyait presque à chaque semaine. »

Le gérant croit qu’on pourra augmenter le volume considérablement si on réussit à attirer des vendeurs et des clients de la région de Summerside.

On a opéré le marché les samedis de 9 h 00 à 14 h00 pendant 20 semaines. L’an prochain, on réduira la journée d’une heure, fermant les portes à 13 h 00 et on raccourcira également la saison un peu.

On cherchera aussi à former des partenariats avec des groupes, clubs ou associations communautaires pour organiser des petits évènements, tels que des déjeuners aux crêpes gratuits. On inviterait cependant les gens à faire un petit don à une cause charitable comme l’hôpital pour enfants IWK ou les Christmas Daddies. On pourrait également faire venir la radio pour y diffuser une émission en directe ou on pourrait faire venir les pompiers pour faire des démonstrations de leurs camions et équipements pour les enfants.
Linda Reichheld de la compagnie Rural Roots à Goodwin’s Corner se tient bien occupée à vendre ses plantes et ses légumes frais au marché des fermiers à Abram-Village en été et en automne.

Certains des vendeurs sont si encouragés des résultats de la première année qu’ils considèrent installer des serres (greenhouses) afin de pouvoir fournir des légumes pour leurs clients plus tôt dans la saison.

M. Gallant signale qu’on examinera les diverses options d’incorporation – y compris l’option coopérative — au cours de la prochaine année.

Le gérant se dit très content de l’appui administratif reçu de Giselle Bernard, agente en développement rural de Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) de l’Île- du- Prince-Édouard. C’est grâce à ses efforts qu’on a pu initier et mettre sur pied ce merveilleux projet communautaire.

De sa part, Mme Bernard se dit très contente des résultats de la première année.

« J’ai vu des gens dédiés qui ont travaillé extrêmement fort pour réaliser ce merveilleux projet » signale-t-elle. « Ça m’impressionne toujours de voir du monde avec tant de convictions prendre toutes les démarches nécessaires pour atteindre leurs buts. »

« C’est sans doute un des plus beaux projets qu’on a pu aider à réaliser » conclut-elle.

(Pour plus d’information, veuillez communiquer avec Giselle Bernard, agente en développement rural de Réseau de développement économique et d’employabilité de l’Île-du-Prince-Édouard, au 854-3439.)

Leave Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *